Not all actual situations are gener

Not all actual situations are generated in accordance with the two principles of justice in holdings: the principle of justice in acquisition and the principle of justice in transfer. Some people steal from others, or defraud them, or enslave them, seizing their product and preventing them from living as they choose, or forcibly exclude others from competing in exchanges. None of these are permissible modes of transition from one situation to another. And some persons acquire holdings by means not sanctioned by the principle of justice in acquisition. The existence of past injustice (previous violations of the first two principles of justice in holdings) raises the third major topic under justice in holdings: the rectification of injustice in holdings. If past injustice has shaped present holdings in various ways, some identifiable and some not, what now, if anything, ought to be done to rectify these injustices? What obligations do the performers of injustice have toward those whose position is worse than it would have been had the injustice not been done? Or, than it would have been had compensation been paid promptly? How, if at all, do things change if the beneficiaries and those made worse off are not the direct parties in the act of injustice, but, for example, their descendants? Is an injustice done to someone whose holding was itself based upon an unrectified injustice? How far back must one go in wiping clean the historical slate of injustices? What may victims of injustice permissibly do in order to rectify the injustices being done to them, including the many injustices done by persons acting through their government? I do not know of a thorough or theoretically sophisticated treatment of such issues.

Results (French) 1:

Pas toutes les situations réelles sont générées selon les deux principes de la justice dans les exploitations : le principe de justice dans l'acquisition et le principe de la justice dans le transfert. Certaines personnes volent des autres ou escroquer les asservissent, s'emparant de leur produit et qui les empêche de vivre comme ils choisissent ou excluent les autres par la force d'affronter la concurrence dans les échanges. Aucun d'entre eux sont permises modes de transition d'une situation à l'autre. Et certaines personnes prise de participation par des moyens non sanctionnées par le principe de justice dans l'acquisition. L'existence des injustices passées (violations antérieures des deux premiers principes de la justice dans les exploitations) déclenche le troisième thème majeur la justice dans les exploitations : la rectification de l'injustice dans les exploitations. Si des injustices passées a façonné présentes holdings de diverses façons, certains identifiables et certains pas, que faire maintenant, le cas échéant, doivent être fait pour corriger ces injustices ? Quelles sont les obligations ont-ils les artistes interprètes ou exécutants d'injustice envers ceux dont la situation est pire qu'il aurait été l'injustice n'avait pas été faite ? Ou, qu'il aurait une indemnité avait été versée rapidement ? Comment, si du tout, les choses changent si les bénéficiaires et ceux aggravée au large ne sont pas des parties dans l'acte d'injustice, mais, par exemple, leurs descendants directs ? Une injustice faite à une personne dont l'exploitation a été lui-même repose sur une injustice rectifiée ? Dans quelle mesure le dos doit une seule fois en essuyant propre la liste historique des injustices ? Que peuvent victimes d'injustice légitimement faire afin de remédier aux injustices faits pour eux, y compris les nombreuses injustices réalisées par des personnes agissant par l'intermédiaire de leur gouvernement ? Je ne sais pas d'un traitement approfondi ou théoriquement sophistiqué de ces questions.

Results (French) 2:

Pas toutes les situations réelles sont générés en conformité avec les deux principes de la justice dans les exploitations: le principe de la justice dans l'acquisition et le principe de la justice dans le transfert. Certaines personnes volent des autres, ou de frauder eux, ou les réduire en esclavage, la saisie de leurs produits et de les empêcher de vivre comme ils le souhaitent, ou exclure de force les autres de la concurrence dans les échanges. Aucun de ces modes admissibles de la transition d'une situation à une autre. Et certaines personnes acquièrent avoirs par des moyens non sanctionnées par le principe de justice en acquisition. L'existence de l'injustice du passé (des violations antérieures des deux premiers principes de la justice dans les exploitations) soulève le troisième thème majeur en vertu de la justice dans les exploitations: la rectification de l'injustice dans les exploitations. Si l'injustice du passé a façonné des avoirs actuels de diverses manières, certains identifiables et d'autres non, ce que maintenant, si quoi que ce soit, doit être fait pour remédier à ces injustices? Quelles sont les obligations des artistes de l'injustice ont envers ceux dont la position est pire qu'elle ne l'aurait été si l'injustice pas été fait? Ou, à ce qu'elle aurait été si la rémunération avait été payés promptement? Comment, le cas échéant, faire les choses changent si les bénéficiaires et ceux réalisés hors pires ne sont pas les parties directes dans l'acte d'injustice, mais, par exemple, leurs descendants? Est une injustice faite à quelqu'un dont la tenue a été lui-même fondé sur une injustice non rectifié? Jusqu'où doit-on aller retour en essuyant l'ardoise historique des injustices? Que peuvent faire les victimes d'injustices de manière admissible afin de rectifier les injustices en cours pour eux, y compris les nombreuses injustices commises par des personnes agissant à travers leur gouvernement? Je ne sais pas d'un traitement de fond ou en théorie sophistiquée de ces questions.

Results (French) 3:

toutes les situations réelles sont produites conformément aux deux principes de justice dans les exploitations: le principe de la justice dans l'acquisition et le principe de la justice au transfert.certaines personnes à voler, ou de les escroquer, ou les asservir, saisir leurs produits et en les empêchant de vivre comme ils l'entendent, ou par la force en exclure d'autres, de faire concurrence dans les échanges.aucun de ces sont permises les modes de transition d'une situation à l'autre.et certaines personnes de prendre des participations par des moyens non sanctionnés par le principe de la justice dans l'acquisition.l'existence de l'injustice passée (violations antérieures des deux premiers principes de justice dans les exploitations) soulève la troisième grande question relevant de la justice dans les exploitations: la rectification de l'injustice dans les exploitations.si les injustices a façonné présente holdings de diverses façons, certains identifiables et certains pas, maintenant, si quelque chose doit être fait pour corriger ces injustices?quelles obligations les artistes interprètes ou exécutants d'injustice envers ceux dont la situation est pire qu'elle l'aurait été si l'injustice n'a pas été fait?ou qu'il aurait été avait été indemnisée rapidement?comment, le cas échéant,- les choses changent, si les bénéficiaires et les parties ne sont pas les plus directement dans la loi de l'injustice, mais, par exemple, leurs descendants?c'est une injustice à quelqu'un dont l'exploitation a été basée sur un corrigé l'injustice?jusqu'où doit - on recommence l'ardoise des injustices historiques?victimes d'injustice peut valablement faire afin de corriger les injustices fait pour eux, y compris les nombreuses injustices faites par des personnes agissant par l'intermédiaire de leur gouvernement?je ne sais pas d'un traitement complet ou théoriquement sophistiquée de ces questions.